Sonate kv281 bm-mozart-piano

Sonate en si bémol majeur K. 281
Mozart, Wolfgang Amadeus
Solo de piano
Edition : Henle Verlag

Auteur(s) : MOZART Wolfgang Amadeus
Instrument(s) : Solo de piano
Editeur : Henle Verlag

Niveau :  Moyen

Code barre : 9790201810539

Directeur de publication : Herttrich, Ernst
Type de Reliure : Broché
Contenu : Piano Sonata in B flat major K. 281
Doigté: Hans-Martin Theopold
Edition Urtext,
Reliure paperback
Pages: 21 (I, IV, 1, 17)
N e de commande. HN 1053
ISMN M-2018-1053-9
Niveau de difficulté (Piano): moyen (Degré 5/6)

Premier mouvement si bémol majeur, la clé de la troisième sonate dans le cycle, semble avoir joué un rôle clé préféré de Mozart pour la musique de piano, car il l'a utilisé pendant trois sonates et pas moins de quatre concertos et six pianos et sonates pour violon. Au départ, le thème du premier mouvement présente un charmant dualisme entre triplets seizième et des notes 32e. Ce mouvement admirablement construit mérite d'être joué plus souvent, et le pianoforte instruments de l'époque de Mozart, avec un son clair et transparent et un timbre particulier, semble particulièrement bien adapté pour présenter la charmante délicatesse de l'ensemble de cette sonate.

Deuxième mouvement Le deuxième mouvement, Andante amoroso (initialement marqué Andantino appartient aux plus belles oeuvres de jeunesse de Mozart. Il devrait être joué avec dévotion introspective, et non comme une déclaration de la passion. Soupirs affectueux alternent avec le léger flux de phrases mélodiques tendres.

Le troisième mouvement rondo final est un rythme de gavotte , avec l'expression de la bonne humeur et les effets concerto comme, par exemple avec la courte cadence de mesure 43 et le retour du thème sous un trille d'accompagnement (m. 114f). Le thème du rondo est binaire, la deuxième partie étant une répétition variée dans le sens de l'utilisation du terme de CPE Bach . Les italiennes ''Mannheim soupirs» dans la mesure 3 sont répétées dans le premier épisode. Le deuxième épisode en mineur introduit un soupçon de mélancolie dans le cours des événements gais, que le troisième épisode interrompt également, cette fois avec une voix forte, spectaculaire dans une diminution de septième (m. 102 104). Le mouvement, qui est liée à la forme ainsi que la clé pour les finales des Sonates K 333 et K 570, et aussi celle du Concerto K 238, arrive à son terme avec une brève et spirituelle coda.
Paul et Eva Badura-Skoda

Information :Les détails sur les partitons musicales ainsi que les images sont issus du catalogue de l'éditeur et donnés à titre indicatifs. A ce titre ils ne constituent pas des éléments contractuels opposable à concertiste